Voici nos conseils :

Je te promets la liberté de Laurent Gonelle (conseillé par Catherine)

4e couverture : Avec son nouveau roman à suspense, Laurent Gounelle vous entraîne au cœur d’une histoire exaltante dans laquelle vous allez vous perdre… et vous retrouver. Imaginez : votre employeur vous laisse dix jours pour sauver votre poste et, le soir même, votre conjoint vous laisse entendre que votre couple n’en a plus pour longtemps… Dans les deux cas, on vous reproche votre personnalité, mais qu’y pouvez-vous ? Lorsqu’un ami vous parle d’un homme mystérieux, membre d’une confrérie très secrète détentrice d’un savoir ancestral, qui a le pouvoir d’installer en vous une toute nouvelle personnalité, la perspective est peut-être tentante… C’est ce qui arrive à Sybille Shirdoon, l’héroïne de cette histoire : confrontée à l’échec, à la séparation, à la trahison, mais aussi au bonheur, à la joie, à l’amour, elle s’embarque alors dans un chemin extraordinaire vers la découverte de soi et des autres.

L’élégance du hérisson de Muriel Barbery (conseillé par Geneviève)

4e couverture : « Je m’appelle Renée, j’ai cinquante-quatre ans et je suis la concierge du 7 rue de Grenelle, un immeuble bourgeois. Je suis veuve, petite, laide, grassouillette, j’ai des oignons aux pieds et, à en croire certains matins auto-incommodants, une haleine de mammouth. Mais surtout, je suis si conforme à l’image que l’on se fait des concierges qu’il ne viendrait à l’idée de personne que je suis plus lettrée que tous ces riches suffisants. Je m’appelle Paloma, j’ai douze ans, j’habite au 7 rue de Grenelle dans un appartement de riches. Mais depuis très longtemps, je sais que la destination finale, c’est le bocal à poissons, la vacuité et l’ineptie de l’existence adulte. Comment est-ce que je le sais ? Il se trouve que je suis très intelligente. Exceptionnellement intelligente, même. C’est pour ça que j’ai pris ma décision: à la fin de cette année scolaire, le jour de mes treize ans, je me suiciderai. »

La gloire de mon père, le château de ma mère de Marcel Pagnol (conseillés par Stéphanie)

4e couverture : Souvenirs d’enfance est une série de quatre romans autobiographiques de Marcel Pagnol.
1957 : La Gloire de mon père
1957 : Le Château de ma mère
1960 : Le Temps des secrets
1977 : Le Temps des amours, inachevé, publication posthume
L’idée d’écrire ces souvenirs est née lorsqu’un magazine féminin demanda à Pagnol une nouvelle pour son numéro de Noël. Pagnol écrivit donc l’histoire des quatre châteaux (que l’on retrouve à la fin du second tome). Ce récit éveilla en lui l’envie d’en raconter plus, et il entreprit ce qui, au départ, devait être une trilogie (l’édition originale du Château de ma mère annonce l’ouvrage suivant, Les Grandes Amours, « suite et fin des souvenirs d’enfance »).

Cent récitations de notre enfance d’Albine Novarino et de Béatrice Mandopoulos (conseillé par Stéphanie)

4e couverture : Cent récitations éternelles, celles de notre enfance, celles qui rythment la vie de chaque génération sur le chemin de l’école, du collège et du lycée. Au fil du temps, elles ressur gissent dans nos mémoires. Au sommaire : Apollinaire, Aragon, Baudelaire, Carême, Cocteau, Fort, Hugo, La Fontaine, Lamartine, Musset, de Nerval, Prévent, Rimbaud, Vigny…

La consolante d’Anna Gavalda (conseillé par Lise)

Commentaire de Lise : Relu La consolante, avais oublié les 300 premières pages, mais me souvenais de cet endroit magnifique que découvre Charles, architecte quinquagénaire en perte de repères : un monde bucolique sur lequel règne Kate, trentenaire, qui a hérité de 5 enfants qu’elle élève en bobo-aristo. Charles donc, apprend la mort d’Anouk, mère de son ami Alexis qu’il a perdu de vue depuis 20 ans, et c’est sa vie entière qui bascule. Les souvenirs remontent à la surface, il décide finalement d’aller voir Alexis et rencontre, après 300 pagesdonc, Kate, son royaume en pleine nature, ses enfants sauvages, sa véritable ménagerie, ses gâteaux, son histoire qu’elle lui raconte au coin du feu (de camp)… Charles va se retrouver, au sens figuré, au contact de cette nature apaisante et de cette femme atypique et survivante. La consolante, cette dernière partie, après la belle et la revanche, censée mettre tous les joueurs d’accord, donne son nom à ce roman qui s’apprivoise, qui n’évite pas quelques longueurs mais décrit si bien les errances d’un homme en manque de sens. Il faut accepter l’écriture atypique, hachée, comme les pensées du héros, et se laisser entraîner avec lui vers plus de légèreté, et de bonheur, tout simplement.

Les gratitudes de Delphine de Vigan (conseillé par Lise)

Commentaire de Lise : Décidément, j’aime beaucoup Delphine de Vigan, que je retrouve ici avec plaisir, dans un tout petit opus qui se lit d’une traite, et nous propose une sorte de conte philosophique, de réflexion sur les gratitudes : « combien de fois dans votre vie vous aviez réellement dit merci ? Un vrai merci. L’expression de votre gratitude, de votre reconnaissance, de votre dette. » A travers l’histoire de Michka, enfant cachée pendant la guerre, et maintenant vieille dame qui perd la parole, les mots, l’auteur nous invite à nous pencher sur cette question. Michka voudrait tant retrouver Henri et Nicole, qui l’ont recueillie à l’époque, pour leur dire merci, avant de s’en aller. Entre ses pensées, ses cauchemars, ses peurs, et les conversations qu’elle a avec Marie, sa ‘presque’ fille, et Jérôme, l’orthophoniste de la maison de retraite, je me suis attachée aux personnages humains, tendres, attachants, drôles malgré eux. C’est un livre sur la vieillesse, sur l’acceptation de l’inéluctable, sur tout ce qui nous lie et tout ce que l’on doit aux autres, sans qui finalement nous ne serions rien.

Changer l’eau des fleurs de Valérie Perrin (conseillé par Bénédicte)

4e couverture : Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se réchauffer dans sa loge où rires et larmes se mélangent au café qu’elle leur offre. Son quotidien est rythmé par leurs confidences. Un jour, parce qu’un homme et une femme ont décidé de reposer ensemble dans son carré de terre, tout bascule. Des liens qui unissent vivants et morts sont exhumés, et certaines âme

Le bonheur n’a pas de ride d’Anne-Gaëlle Huon (conseillé par Bénédicte)

4e couverture : Paulette a 85 ans, un caractère bien trempé, et pas toute sa tête. Enfin, à ce qu’elle prétend. Lorsqu’elle se retrouve bien malgré elle la nouvelle pensionnaire de l’Auberge de Monsieur Yvon, elle n’a qu’une obsession : en partir ! Mais c’est sans compter sur l’étrange fascination que les autres habitants et leurs secrets vont bientôt exercer sur elle. Que contiennent ces lettres mystérieuses trouvées dans la chambre de Monsieur Georges ? Qui est l’auteur de ce carnet abandonné dans la bibliothèque ? Une chose est certaine : Paulette est loin d’imaginer que ces rencontres vont changer sa vie et peut-être, enfin, lui donner un sens. Des morceaux de vie qui enchantent, des chagrins, des joies, des confidences. Un roman tendre et lumineux qui nous parle d’amour et d’amitié à l’heure où on ne s’y attend plus. Un roman qui fait aimer la vie.

Les gens heureux lisent et boivent du café d’Agnès Martin-Lugand (conseillé par Bénédicte)

4e couverture : « Ils étaient partis en chahutant dans l’escalier. J’avais appris qu’ils faisaient encore les pitres dans la voiture, au moment où le camion les avait percutés. Je m’étais dit qu’ils étaient morts en riant. Je m’étais dit que j’aurais voulu être avec eux. » Diane perd brusquement son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l’exception de son cœur, qui continue de battre.  Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l’existence.
C’est peut-être en foulant la terre d’Irlande, où elle s’exile, qu’elle apercevra la lumière au bout du tunnel. Entre « Le Journal de Bridget Jones » et « Love Story », l’histoire de Diane nous fait passer par toutes les émotions.
Impossible de rester insensible au parcours tantôt dramatique tantôt drôle de cette jeune femme à qui la vie a tout donné puis tout repris, et qui n’a pas d’autre choix que de faire avec.

Les enfants de Venise de Luca Di Fluvio (conseillé par Muriel)

Commentaire de Muriel : La lecture de ses 3 romans Le gang des rêves, Le soleil des rebelles etLes enfants de Veniseme met dans un état de bien-être immédiat, dès les premières pages 😊. Je trouve que DI FLUVIO est très talentueux. Il a le don de créer des personnages auxquels on s’attache pour longtemps…Dans chacun de ses trois livres, une intrigue efficace, un récit entrecoupé de dialogues et des personnages tous plus attachants les uns que les autres… 
Ce sont des fresques romanesques où l’amour triomphe du mal et de la misère. J’adore !

Le voyage de Wendy de Anne Thoumieux (conseillé par Clotilde)

4e couverture : Un merveilleux récit initiatique, par la fille spirituelle de Sylvain Tesson et de Bridget Jones.
Wendy est une jeune fille sans histoire qui se laisse porter par la vie jusqu’au jour où le destin décide brutalement de la confronter à l’impensable. En l’espace de quelques mois, Wendy doit dire adieu à sa mère et à son père . À seulement 26 ans, elle se retrouve seule au monde, ou presque. Comment garder espoir quand on est seul, perdu dans un monde qui nous paraît désormais hostile ? Une rencontre surprenante dans un bar va pourtant bouleverser son existence et la mener jusqu’en Argentine.
Merveilleux récit initiatique, ce livre porte en lui un message d’espoir et de douceur.

Mange Prie Aime d’Elizabeth Gilbert (conseillé par Clotilde)

4e couverture : A trente et un ans, Elizabeth Gilbert possède tout ce dont une Américaine ambitieuse peut rêver : un mari dévoué, une belle maison, une carrière prometteuse. Elle devrait nager dans le bonheur, pourtant elle est rongée par l’angoisse, le doute, l’insatisfaction… S’ensuivent un divorce, une dépression et une liaison désastreuse qui la laissent exsangue et encore plus désemparée. Elle décide de tout plaquer pour partir seule à travers le monde. À elle de se construire la vie qu’elle s’est choisie ! En Italie, elle goûte aux délices de la dolce vita et prend les « douze kilos les plus heureux de sa vie », en Inde, ashram et rigueur ascétique l’aident à discipliner son esprit (lever à 4 heures du matin, méditation et nettoyage des sols !) et en Indonésie, elle cherche à réconcilier son corps et son âme pour trouver l’équilibre qu’on appelle le bonheur…Elizabeth Gilbert nous invite à un voyage vers l’inconnu joyeux et émouvant, libéré des mascarades et faux-semblants. À travers une mosaïque d’émotions et d’expériences culturelles, elle a su conquérir le cœur de millions de lectrices qui ont aimé pleurer et rire avec elle. Et qui rêvent de changer de vie, elles aussi…

Joyeux suicide et bonne année de Sophie de Villenoisy (conseillé par Sabine)

4e couverture : « Tu fais quoi à Noël ? Moi je me suicide et toi ? » Bien sûr, dit comme ça, ça peut paraître sinistre, mais à quarante-cinq ans c’est ma meilleure option. Ce n’est pas comme si je faisais des malheureux autour de moi. Comme si j’abandonnais mari et enfants. Je n’ai ni chien ni chat. Même pas un perroquet pour me pleurer. 
Et puis ça me laisse deux mois pour faire connaissance avec mon vrai moi. 
Deux mois c’est court. Ou long, ça dépend de ce qui se passe, en fait. Tour à tour hilarant et émouvant, Joyeux suicide et bonne année est un antidote à la solitude, un hymne à la vie raconté avec finesse et impertinence par Sophie de Villenoisy.

Les dix voeux d’Alfred de Maude Mihami (conseillé par Sabine)

4e couverture : 1970, Le Camboudin, petit village breton. Alfréd, neuf ans, a un prénom dont l’accent aigu lui déplaît, une mère qui picole trop et un grand père qui tient à lui comme à la prunelle de ses yeux. Il adore traîner au bistrot avec ses copains, une joyeuse bande de vieux qui lui apprennent la vie. Avec l’aide de son Vénérable Papi, il va décider de passer le cap de ses dix ans en établissant une liste de vœux à réaliser avant le grand jour. Rencontrer un vrai cow-boy, boire de la trouspignôle ou encore conduire un tracteur marqueront le début d’une série d’aventures aussi rocambolesques que réjouissantes. De vœux gâchés en moments de pure félicité, il va vivre l’année la plus incroyable de sa vie.
Maude Mihami nous offre avec Les Dix Voeux d’Alfréd un premier roman d’une grande drôlerie qui pose un regard tendre sur le monde de l’enfance.

Une réponse sur « Un roman feel good »

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